L’un des deux médecins de l'hôpital dans la rue juste après l’explosion d’un baril de TNT sur la ville. De fabrication artisanale, sans aucune précision, les barils sont jetés d’un hélicoptère sur les zones civiles. Le régime les utilise pour réaliser un maximum de dégâts et faire des villes des champs de ruines.
Interrogés sur les raisons de leur présence sur le front, les deux médecins se justifient ironiquement comme étant des « bravehearts », ne pouvant abandonner leur peuple seul face à la violence du conflit. Ils soignent principalement des civils victimes des bombardements mais aussi des attaques chimiques au chlore. Ils observent depuis peu l’utilisation de mélanges de gaz inconnus dont les traitements habituels sont inefficaces. En 2013 Damas signait le traité sur l’interdiction des armes chimiques en Syrie, leur utilisation est aujourd’hui toujours démentie.
Interrogés sur les raisons de leur présence sur le front, les deux médecins se justifient ironiquement comme étant des « bravehearts », ne pouvant abandonner leur peuple seul face à la violence du conflit. Ils soignent principalement des civils victimes des bombardements mais aussi des attaques chimiques au chlore. Ils observent depuis peu l’utilisation de mélanges de gaz inconnus dont les traitements habituels sont inefficaces. En 2013 Damas signait le traité sur l’interdiction des armes chimiques en Syrie, leur utilisation est aujourd’hui toujours démentie.
Zone de front, près de Kafr Zita, région d'Hama