Devant l’hôpital local, dernier poste de secours avant la zone de front, rebelles et soignants se mettent à l’abri et scrutent les tracés du MIG qui précèdent un bombardement imminent.
Les attaques aériennes ne s’arrêtent jamais, à cette période on pouvait compter une vingtaine d’avions ou d’hélicoptères jour et nuit. Les rebelles et civils ne disposent d’aucune protection hormis de se cacher et d’éteindre les lumières durant la nuit, ensuite c’est du hasard et de la chance.
Les attaques aériennes ne s’arrêtent jamais, à cette période on pouvait compter une vingtaine d’avions ou d’hélicoptères jour et nuit. Les rebelles et civils ne disposent d’aucune protection hormis de se cacher et d’éteindre les lumières durant la nuit, ensuite c’est du hasard et de la chance.
Zone de front, près de Kafr Zita, région d'Hama